Actualités

Enquête du BEI : l'UPAC collaborera

Communiqué

Montréal, le 25 octobre 2018 – L'UPAC prend acte de la décision du ministère de la Sécurité publique de demander qu'une enquête soit déclenchée au sujet de l’ensemble des fuites provenant des projets d’enquêtes de l’UPAC ainsi que sur la conduite du Projet A.

 

L'UPAC assure le BEI de son entière collaboration. 

 

Aucun autre commentaire ne sera émis. 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérifications et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

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L’UPAC prend acte de la décision du Directeur des poursuites criminelles et pénales de concéder à la requête en cassation des mandats de perquisition dans le dossier d'enquête visant Guy Ouellette

Communiqué

Montréal, le 28 septembre 2018 – L’Unité permanente anticorruption (UPAC) a été informée que le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a concédé à la requête en cassation des mandats de perquisitions exécutés à la résidence et dans le véhicule de Guy Ouellette en octobre 2017.

L’UPAC prend acte de cette décision qui est la prérogative du DPCP et examinera les éléments l’ayant justifiée avant de pouvoir commenter davantage.

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérifications et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

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Centre multifonctionnel de Boucherville : Marc Girard est arrêté par l'UPAC

Communiqué

Montréal, le 27 septembre 2018 – Les enquêteurs de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) ont procédé ce matin à l’arrestation de Marc Girard, ancien dirigeant du Centre multifonctionnel Francine-Gadbois, à Boucherville. Il est accusé d’abus de confiance, de fraude, de fabrication et usage de faux, de possession de biens criminellement obtenus et de méfait concernant des données.

 

Les faits reprochés à Marc Girard se seraient produits dans le cadre de ses fonctions, entre novembre 2007 et août 2016. 

 

L’accusé comparaîtra au palais de justice de Longueuil le 1er octobre prochain.

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérifications et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

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Projet NAVIGATEUR : peines d'emprisonnement avec sursis pour l'ex-directrice des services financiers du Cégep Édouard-Montpetit et son complice

Communiqué

Québec, le 19 septembre 2018. – Revenu Québec et l'Unité permanente anticorruption (UPAC) annoncent que M. Dino Marcoux et Mme Stéphanie Paquette ont été condamnés à des peines d'emprisonnement avec sursis relativement à des infractions aux lois fiscales constatées dans le cadre du projet Navigateur. Des amendes totalisant 107 132,72 $ leur ont également été imposées.

 

Lisez le communiqué complet sur le site de Revenu Québec : www.revenuquebec.ca/fr/salle-de-presse/communiques-de-presse/details/158300/2018-09-19/

UPAC : deux arrestations dans une enquête de corruption à la Ville de Châteauguay

Communiqué

Montréal, le 24 août 2018 – Les enquêteurs de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) ont procédé ce matin aux arrestations de Richard Sauvé, un ancien employé des travaux publics de la Ville de Châteauguay, ainsi que de Thierry de Lalonde, vice-président de Distributions Nord-Ouest, une entreprise qui fournissait du matériel électrique à la Ville de Châteauguay. Richard Sauvé est accusé de fraude et d’abus de confiance. Quant à Thierry de Lalonde, il est accusé de fraude et d’influence d’un fonctionnaire municipal.

La preuve recueillie dans le cadre de cette enquête criminelle débutée en septembre 2017 tend à démontrer qu’entre novembre 2016 et septembre 2017, Richard Sauvé aurait fraudé la Ville de Châteauguay au bénéfice de Thierry de Lalonde, commettant ainsi des infractions criminelles au détriment des contribuables de cette ville.

Les accusés comparaîtront au palais de justice de Valleyfield le 5 octobre prochain.

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérifications et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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Projet LAURÉAT : Riadh Ben Aissa plaide coupable à un chef d'accusation

Communiqué

Dans le cadre du projet d'enquête LAURÉAT, l'accusé Riadh Ben Aissa a plaidé coupable aujourd'hui au chef d'accusation d'utilisation de faux qui pesait contre lui.

Projet MANDER - UPAC : trois arrestations dans le cadre d'une enquête de corruption touchant des contrats informatiques au ministère de la Justice

Communiqué

Montréal, le 5 juillet 2018 – Ce matin, les enquêteurs de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) ont procédé à l’arrestation de Christian Tessier, ancien directeur des Services à la clientèle et technologiques au ministère de la Justice du Québec (MJQ) jusqu’en 2014, ainsi que de Sylvain Tremblay, administrateur d’une firme fournissant des services informatiques, alors qu’un troisième individu, Normand Laberge, ancien directeur des Services à la clientèle et technologiques au MJQ jusqu’en 2007, s’est rendu au palais de justice de Montréal afin d’y comparaître dans le cadre du projet d’enquête MANDER. 

 

Ces individus sont accusés de fraude, de fraude envers le gouvernement et d’abus de confiance.

 

La preuve recueillie dans le cadre de cette enquête criminelle débutée en 2014 tend à démontrer qu’entre 2000 et 2014 des fonctionnaires ont reçu des sommes d’argent afin de favoriser une entreprise lors d’octroi de contrats informatiques au MJQ.

 

La dénonciation de citoyens a permis à l’UPAC de mener à bien cette enquête.

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérifications et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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Projet HONORER : 4 ans de prison pour Antonio Accurso

Communiqué

Reconnu coupable le 25 juin dernier des accusations de fraude, de complot, d’abus de confiance et de corruption qui pesaient contre lui, Antonio Accurso écope d’une sentence de 4 ans de prison.

 

Rappelons que le projet HONORER visait le démantèlement d'un réseau organisé et structuré qui opérait un système de corruption et de collusion dans l'octroi de contrats publics à Laval. Dans ce vaste projet d'enquête de l’UPAC, 37 personnes avaient été accusées dont Gilles Vaillancourt qui a purgé une peine d'emprisonnement pour fraude, complot et abus de confiance.

Revenu Québec et l’UPAC annoncent des amendes totalisant près de 50 000 $ pour une entrepreneur des Laurentides

Communiqué

Québec, le 5 juillet 2018. – Revenu Québec et l’Unité permanente anticorruption (UPAC) annoncent qu’un résident de Saint-Sauveur, M. Stéphane Roy, a été condamné à payer des amendes totalisant 48 484,57 $, relativement à des infractions aux lois fiscales.

 

Lisez le communiqué complet sur le site de Revenu Québec : www.revenuquebec.ca/fr/salle-de-presse/communiques-de-presse/details/2018-07-05-1/

Rapport d’audit du VGQ - Les allégations de collusion à l’égard de l’UPAC, de l’AMF et d’une firme de consultant sont non fondées, conclut la vérificatrice générale du Québec

Communiqué

Montréal, le 13 juin 2018. - À la suite des allégations de collusion qui ont publiquement été faites à l’égard de l’Unité permanente anticorruption (UPAC), de l’Autorité des marchés financiers (AMF) et d’une firme de consultants en octobre 2017, le gouvernement avait demandé un audit particulier au Vérificateur général du Québec (VGQ). Aujourd’hui, le VGQ a présenté son rapport qui révèle que les allégations se sont avérées non fondées alors que leurs « [...] travaux d’audit n’ont pas permis de confirmer la véracité des allégations rapportées dans les médias » ni de « [...] confirmer la présence d’un stratagème entre l’AMF et l’UPAC visant à favoriser une firme de consultants ».

« L’audit du Vérificateur général du Québec confirme sans équivoque que les allégations qui ont fait l’objet d’un rapport particulier n’étaient pas fondées. Ces allégations ont des impacts sur la confiance de la population à l’égard de ses organisations, mais aussi sur la crédibilité des travaux qui y sont réalisés », a précisé le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière. 

Dans un autre volet de son audit particulier, le VGQ porte un regard sur le processus d’autorisation de conclure des contrats et sous-contrats publics du Service de la vérification de l’intégrité des entreprises de l’UPAC. Le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière, accueille favorablement les recommandations du VGQ. Des actions qui visent à améliorer les activités de vérification sont d’ailleurs déjà au cœur des priorités du Service. 

 

Les recommandations

Les trois recommandations formulées par le VGQ confirment l’importance du travail rigoureux qui est réalisé par le Service de vérification d’intégrité des entreprises de l’UPAC.

Dans une correspondance publique adressée au ministre de la Sécurité publique, M. Martin Coiteux, le 19 janvier 2018, il était déjà clair qu’une démarche visant à corriger certaines problématiques relevées par le VGQ était en cours de réalisation. 

Les mesures correctives qui sont déployées depuis 2017 au Service de la vérification de l’intégrité des entreprises de l’UPAC visent notamment une réorganisation de la structure afin d’optimiser :

  • les processus de travail;
  • l’encadrement;
  • la supervision du travail;
  • et la révision des rôles et responsabilités de chacun.

 

De plus, le développement de l’expertise des analystes par la formation continue ainsi que la bonification des outils de travail ont été des priorités d’action dont les bienfaits se font déjà bien ressentir.

 

Ces mesures font partie d’un plan stratégique plus large et le commissaire à la lutte contre la corruption est déterminé à les réaliser sans délai. 

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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Revenu Québec et l'UPAC annoncent des amendes totalisant plus de 22 000 $ pour une société de Châteauguay et son administrateur

Communiqué

Québec, le 13 juin 2018. – Revenu Québec et l’Unité permanente anticorruption (UPAC) annoncent qu’une société de Châteauguay, Gestion et intégration de solutions technologiques Lacombe inc., et son administrateur, M. Daniel Lacombe, ont été condamnés à payer des amendes totalisant 22 144,54 $, relativement à des infractions aux lois fiscales.

 

Lisez le communiqué complet sur le site de Revenu Québec : www.revenuquebec.ca/fr/salle-de-presse/communiques-de-presse/details/2018-06-13-1/

Projet d'enquête JUSTESSE : précision de l’UPAC sur un article du Journal de Montréal

Communiqué

Montréal, le 5 juin 2018 – Un article du Journal de Montréal, publié le 5 juin 2018, suppose à tort qu’un projet d’enquête de l’UPAC impliquant des organisateurs politiques et la Société immobilière du Québec est retardé par les procureurs du DPCP. Or, ledit projet d’enquête nommé Justesse n’est pas à l’étude au DPCP puisque des compléments de preuve sont toujours en cours au niveau des policiers de l’UPAC. L’enquête est donc toujours active.

C’est d’ailleurs ce que le commissaire à la lutte contre la corruption, Robert Lafrenière, avait mentionné lors de l’étude des crédits, le 24 avril dernier1. L’évolution de ce projet d’enquête est tributaire de plusieurs particularités, dont des demandes d’entraide à l’international et des rapports d’experts qui sont en cours de réalisation, ce qui ajoute des délais imprévus. Par conséquent, les échéanciers doivent être modifiés. Toutefois, il importe de souligner qu’aucune arrestation n’a été reportée.

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérifications et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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Source : Assemblée nationale du Québec - Journal des débats de la Commission des institutions, vol. 40, No 246, Ministère de la Sécurité publique, 24 avril 2018).  

Projet MITRAILLE : 4 accusés reconnus coupables

Communiqué

Accusés en mars 2015 dans le cadre du projet d’enquête MITRAILLE, Mohamed El Khayat, Jean-François Robidas, Daniel Létourneau et Gilles Gariépy ont été reconnus coupable d’abus de confiance, de complot, de fraude et de complot pour fraude au Palais de justice de Québec. Quant à Hamid Iatmanene, aussi accusé dans le cadre de ce projet d’enquête, il subira son procès séparément en janvier 2019. 

Les représentations sur sentences des coaccusés auront lieu les 4 et 16 juillet prochain. 

Rappelons que le projet d’enquête MITRAILLE avait permis de révéler la mise en place d’un stratagème permettant aux complices de favoriser un consortium soumissionnaire, formé des compagnies IBM et Informatique EBR Inc., en facilitant leurs démarches pour l’obtention d’un contrat informatique. Ce lucratif contrat public visait l'acquisition d'une plateforme technologique spécifique à la gestion des données d'un environnement informationnel (le projet Optimisation des processus et des technologies de la centrale de données OptCD) chez Revenu Québec dont la valeur frôlait les 24 M$.

Enfin, l’accusé Mohamed El Khayat a aussi plaidé coupable hier à une accusation d’usage de faux dans le projet d’enquête MAJORAT. L’accusé connaîtra sa sentence le 6 juillet 2018.

Projet NAVIGATEUR : Stéphanie Paquette et Dino Marcoux plaident coupables

Communiqué

Accusés le 6 juillet 2016, Stéphanie Paquette, ex-directrice des services financiers au Collège Édouard-Montpetit, ainsi que son complice, Dino Marcoux, ont plaidé coupables à des accusations de fraude, abus de confiance et de recel. 

Stéphanie Paquette est condamnée à une peine d’emprisonnement de deux ans moins un jour avec sursis. Pour sa part, Dino Marcoux devra purger une peine de 18 mois avec sursis. Les deux accusés devront respectivement rembourser une somme de 28 601,92 $. 

Rappelons que ce projet d’enquête a permis de mettre en lumière un stratagème frauduleux impliquant diverses tractations bancaires permettant aux deux complices de détourner des fonds publics dans un dessein personnel. 

Appel de candidatures : commissaire associé aux vérifications

Nouvelle

Avis de recrutement de personnes aptes à être nommées commissaire associé aux vérifications

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption (CLCC) invite les personnes intéressées et possédant les qualités recherchées à soumettre leur candidature, et ce, en vue de constituer une liste de personnes aptes à être nommées commissaire associé aux vérifications, conformément à la Loi concernant la lutte contre la corruption (chapitre L-6.1).

Ces candidatures sont recherchées en vue de pourvoir à un poste à temps plein avec port d’attache dans la région de Montréal.

Consultez l'appel de candidatures ci-dessous pour tous les détails. Soumettez votre candidature avant le lundi 16 avril 2018 à 16 h 30

 

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Contrat informatique : Abdelaziz Younsi et Mohamed El Khayat reconnus coupables de fraude et d'abus de confiance

Communiqué

Abdelaziz Younsi, ancien directeur des technologies de l'information au ministère de la Sécurité publique, et Mohamed El Khayat, cofondateur de la firme informatique EBR, ont été reconnus coupables d'abus de confiance, de fraude de plus de 5000 $, de complot pour fraude ainsi que de fabrication et utilisation de faux.

 

Rappelons qu'Abdelaziz Younsi et Mohamed El Khayat avaient conjointement été accusés en 2014 d’avoir mis en place un stratagème frauduleux dans le but de faciliter l’octroi d’un contrat informatique dont la valeur dépasse les 3,3 millions de dollars (projet MAJORAT).

Projet MÉDIATOR - L’ex-maire de Terrebonne, Jean-Marc Robitaille, a été arrêté

Communiqué

Montréal, le 15 mars 2018 – Les enquêteurs de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) ont exécuté le dernier mandat d’arrestation visant Jean-Marc Robitaille. Ceci complète les cinq arrestations prévues aujourd’hui dans le cadre de l’enquête MÉDIATOR.

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérifications et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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Projet MÉDIATOR - UPAC : quatre arrestations en lien avec une enquête de corruption à Terrebonne

Communiqué

Montréal, le 15 mars 2018 – Tôt ce matin, les enquêteurs de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) ont procédé à quatre arrestations dans le cadre du projet d’enquête Médiator, une enquête portant sur un présumé stratagème de corruption à la Ville de Terrebonne. Les personnes arrêtées sont Daniel Bélec, Jean Leroux, Luc Papillon et Normand Trudel. Ces individus sont accusés de corruption dans les affaires municipales et d’abus de confiance, et ce, en lien avec un présumé système de partage de contrats qui visait à favoriser des firmes d’ingénieries ainsi que certains entrepreneurs, entre 2001 et 2012. Une cinquième personne, Jean-Marc Robitaille, qui est recherché, est également visée par les mêmes chefs d’accusation. Un mandat d’arrestation est en vigueur. 

 

En effet, la preuve recueillie dans cette enquête criminelle tend à démontrer qu’un élu et des fonctionnaires de Terrebonne recevaient d’importants avantages personnels en échange, entre autres, de changement de zonage ou d’informations privilégiées dans le cadre d’appel d’offres de la Ville. 

 

Par ailleurs, dans cette enquête, l’UPAC avait procédé, en septembre 2017, au blocage de biens appartenant à Jean-Marc Robitaille totalisant une somme de 93 887 $ en lien avec des travaux effectués à sa résidence secondaire. 

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérifications et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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Création d’un corps de police spécialisé en matière de lutte contre la corruption

Communiqué

Montréal, le 14 février 2018 – L’adoption de la Loi visant à accroître la compétence et l’indépendance du Commissaire à la lutte contre la corruption et du Bureau des enquêtes indépendantes ainsi que le pouvoir du Directeur des poursuites criminelles et pénales d’accorder certains avantages à des témoins collaborateurs est un ajout important pour la lutte contre la corruption au Québec. En effet, cette loi permet d’accroître la compétence et l’indépendance du Commissaire à la lutte contre la corruption.

 

Entre autres, la loi précise l’acte répréhensible. Celui-ci touche dorénavant la corruption, le trafic d’influence et l’abus de confiance dans tout le secteur public. Elle accorde au commissaire à la lutte contre la corruption une indépendance accrue, notamment au niveau de la gestion de ses effectifs policiers, tout en lui octroyant un accès direct aux bases de données policières. Les modifications législatives issues du projet de loi 107 étaient nécessaires pour améliorer la compétence du Commissaire et contribuer positivement à la réalisation de la mission de l’UPAC.

 

« Le mandat de l’UPAC n’est pas changé. Notre mission demeure la prévention de la corruption et la répression des infractions aux lois sur l’ensemble du territoire du Québec. Cependant, la loi nous permet maintenant de mener des enquêtes sur la corruption qui vont au-delà des contrats publics puisque notre champ d’intervention vise dorénavant tout le secteur public », a précisé le commissaire à la lutte contre la corruption.  

 

De plus, le comité de surveillance donnera la garantie aux Québécois que les pratiques de gouvernance et la gestion administrative du Commissaire à la lutte contre la corruption sont irréprochables.

 

Il s’agit du premier corps de police spécialisé en matière de lutte contre la corruption au Québec et au Canada. La mise en œuvre des modifications qu’apporte la nouvelle loi fait présentement l’objet de travaux qui visent à bien accueillir les changements organisationnels à venir.    

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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Projet FRONDE : Yves Théberge plaide coupable

Communiqué

Accusé le 19 septembre 2017 dans le cadre du projet d'enquête FRONDE, une enquête criminelle portant sur un système de partage de contrat à la Ville de Montréal, Yves Théberge a plaidé coupable à des accusations de complot pour fraudes et d’actes de corruption dans les affaires municipales. Il a été condamné à 21 mois d’emprisonnement avec sursis et 120 heures de travaux communautaires. 

Projet MERCATO : Gilbert Leizerovici reçoit une sentence de 45 mois de prison et une amende de 400 000 $

Communiqué

Accusé en octobre 2015 et en mars 2016, à la suite d’une enquête de l'équipe de Revenu Québec de l'UPAC, Gilbert Leizerovici a plaidé coupable le 8 janvier 2018 à des infractions aux lois fiscales fédérale et provinciale, notamment pour avoir conspiré en vue de faire des déclarations fausses ou trompeuses. Une sentence de 45 mois de prison lui a été imposée ainsi qu'une amende de plus de 400 000 $. 

Rappelons que les faits qui étaient reprochés à Gilbert Leizerovici se sont produits entre 2008 et 2013 alors qu’il était contractant dans le cadre de travaux effectués à l'Hôpital général juif de Montréal.

Bernard Noël comparaît au Palais de justice de Chicoutimi pour des accusations de fraude et d’abus de confiance

Communiqué

Montréal, le 9 janvier 2018 – Dans le cadre du projet d’enquête OFFRANDE, l’ex-conseiller de la Ville de Saguenay, Bernard Noël, a été accusé de fraude et d’abus de confiance ce matin au Palais de justice de Chicoutimi.

Les faits reprochés à Bernard Noël se seraient produits entre le 1er mars 2013 et le 8 juillet 2013 alors que l’accusé aurait bénéficié d’avantages personnels indus dans le cadre de ses fonctions en lien avec le Grand prix cycliste de Saguenay. 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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UPAC : RAPPORT DE FIN D’ANNÉE 2017

Nouvelle

Montréal, le 14 décembre 2017 – Le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière, a fait le bilan des activités de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) pour l’année 2017.

 

Au moment de faire son bilan de fin d’année, l’UPAC comptait, pour l’année 2017 :

  • 48 déclarations de culpabilités pour des infractions criminelles de fraudes envers le gouvernement, de complot, de corruption dans les affaires municipales et d’abus de confiance, notamment
  • 77 enquêtes criminelles et 24 enquêtes pénales actives
  • 40 enquêtes devant les tribunaux
  • 14 dossiers d’enquête à l’étude par le Directeur des poursuites criminelles et pénales et autres poursuivants publics
  • 14 personnes et une entreprise accusées en vertu du Code criminel. Parmi les accusés, huit sont présumés reliés à un système de partage de contrats publics à la Ville de Montréal, impliquant des contreparties telles que du financement illicite de parti politique et des ristournes indues (projet Fronde)

 

« Je reconnais que certaines de nos enquêtes sont longues, mais la rigueur que nous y mettons permet d’obtenir des condamnations, des peines d’emprisonnement, des blocages et des saisies d’actifs ainsi que des amendes financières qui sont retournées dans les coffres de l’État », a spécifié le commissaire. En effet, 34 millions dollars ont pu être saisis et bloqués depuis les débuts de l’UPAC.

 

« L’expertise et la qualité de l’accompagnement du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) jouent un rôle déterminant dans le succès des conclusions des enquêtes qui sont menées par les enquêteurs de l’UPAC », a ajouté le commissaire Lafrenière.

 

LES RÉSULTATS EN ENQUÊTES PÉNALES

 

Infractions à la Loi sur le bâtiment 

Les travaux de l’équipe de la Régie du bâtiment du Québec visent à assainir le milieu de la construction. Les enquêtes menées sur les chantiers publics ont permis :

  • d’accuser 29 individus et personnes morales pour des infractions à la Loi sur le bâtiment
  • d’imposer des amendes totalisant plus de 460 000 $

 

Les fraudes fiscales

Quant aux accusations visant de la fraude fiscale, l’équipe d’enquête de Revenu Québec a :

  • obtenu 7 condamnations 
  • imposé des amendes s’élevant à 440 000 $
  • déposé 15 chefs d’accusation pour des infractions à la Loi sur l’administration fiscale et à la Loi sur la taxe d’accise envers deux personnes qui étaient également reliées à une enquête criminelle effectuée par le Service des enquêtes sur la corruption de l’UPAC dans un présumé stratagème de détournement de fonds publics 

 

LES RÉSULTATS EN VÉRIFICATIONS

 

Les vérifications d’intégrité des entreprises

Dans le cadre de l’application de Loi sur les contrats des organismes publics ayant mené au Registre des entreprises autorisées à conclure des contrats et sous-contrats publics, l’équipe du service de la vérification de l’intégrité des entreprises a :

  • réalisé 1 450 avis après l’analyse d’autant de dossiers d’entreprises désireuses de faire des affaires avec l’État

 

Depuis la création de ce service (janvier 2013), ce sont :

  • 4 500 avis qui ont été transmis à l’Autorité des marchés financiers, l’organisme qui délivre, aux entreprises, les autorisations à contracter et à sous-traiter avec le gouvernement du Québec, ses ministères, organismes, sociétés d’État et municipalités

 

Les vérifications de conformité

Pour sa part, en 2017, l’équipe de la Commission de la construction (CCQ) de l’UPAC a :

  • réalisé 311 visites de chantier 
  • réclamé 27 000 heures de travail non déclarées 
  • récupéré 480 000 $

 

Pour le projet Turcot seulement, l’équipe de la CCQ a :

  • procédé à 107 visites
  • rencontré 561 employés et 195 employeurs

 

Les vérifications de la gestion contractuelle dans les municipalités 

L’équipe des vérificateurs du ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire a procédé à l’analyse d’éléments spécifiques de la gestion contractuelle dans les municipalités du Québec et produit :

  • 25 rapports d’analyse de gestion contractuelle municipale en 2017

 

LES RÉSULTATS EN PRÉVENTION 

 

La gestion des risques

La gestion des risques liés à l’intégrité est devenue un incontournable pour les administrations publiques québécoises. L’UPAC a développé une méthode éprouvée en cette matière et elle accompagne les ministères et organismes du Québec qui sont soumis à la Directive concernant la gestion des risques en matière de corruption et de collusion dans les processus de gestion contractuelle du Conseil du trésor. 

 

  • En 2017, ce sont 35 ministères et organismes qui ont bénéficié de l’accompagnement des conseillers en prévention de l’UPAC.

 

De plus, l’UPAC a développé un outil interactif qui permet d’appliquer les grands principes de  la gestion des risques d’intégrité. Cet outil de prévention de la corruption a été mis en ligne en 2017 et il est accessible aux ministères et organismes du Québec ainsi qu’aux administrations municipales.

 

Les séances de prévention 

Les efforts en prévention de la corruption et de la collusion ont pu faire bénéficier :

  • 1 500 personnes du programme de sensibilisation aux dangers de la corruption et de la collusion

 

Les personnes rencontrées en 2017 par l’UPAC sont des employés des ministères et organismes, des réseaux de la santé et de l’éducation, des municipalités et du personnel politique. 

Quant aux entreprises privées désireuses de recevoir des séances de sensibilisation aux risques de la corruption, l’offre de service de l’UPAC leur est maintenant disponible. 

 

  • En 2017, 5 entreprises privées ont profité des services de prévention de l’UPAC 

 

LES DÉNONCIATIONS D’ACTES RÉPRÉHENSIBLES

 

Les signalements 

Loin de ralentir, les signalements qui sont faits à l’UPAC sont aussi nombreux que pour l’année 2016 :

  • 780 dénonciations de citoyens ont été reçues en 2017 

 

« Quand les citoyens appellent l’UPAC pour dénoncer des situations où l’intégrité publique est mise en cause, c’est qu’ils ont confiance dans le travail de nos enquêteurs. Je remercie tous ceux et celles qui ont ce courage et cette détermination de nous parler », a dit le commissaire. 

 

Les résultats des actions de lutte contre la corruption de l’UPAC de 2011 à 2017 sont présentés en annexe.

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

Source :

Commissaire à la lutte contre la corruption

 

Médias :

Direction des affaires publiques et des communications

Commissaire à la lutte contre la corruption

514 228-3098, p. 12345

9 décembre : journée internationale de la lutte contre la corruption

Nouvelle

Montréal, le 9 décembre 2017 – Le 9 décembre marque la journée internationale de la lutte contre la corruption. Le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière, tient à rappeler « qu’il est plus que jamais essentiel de prévenir la corruption, la collusion ainsi que la fraude envers l’état et de signaler des actions nuisibles qui compromettent le fonctionnement de nos institutions publiques ».

Bien que des mécanismes aient été mis en place afin de lutter contre la corruption, le commissaire insiste sur le fait que « cette lutte est l’affaire de tous les citoyens et que chaque québécois peut jouer un rôle dans ce combat que nous menons pour ce qui est juste ».

C’est le 31 octobre 2003 que l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) a adopté la Convention des Nations Unies contre la corruption.

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

Source :

Commissaire à la lutte contre la corruption

Le commissaire associé aux vérifications de l’UPAC quitte ses fonctions

Communiqué

Montréal, le 30 novembre 2017 – Le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière, annonce le départ du commissaire associé aux vérifications de l’intégrité des entreprises, Marcel Forget. Ce dernier quitte ses fonctions dans la foulée des articles du Journal de Montréal, qui ne font qu’ébranler l’intégrité de l’UPAC. 

En effet, Monsieur Forget a préféré se retirer afin de ne pas nuire à l’organisation. Par ailleurs, aucun acte illégal n’est reproché à M. Forget. 

M. Michel Pelletier, commissaire associé, assurera l’intérim du Service de la vérification d’intégrité des entreprises. 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

Source :

Commissaire à la lutte contre la corruption

 

Médias : 

Anne-Frédérick Laurence

Directrice des affaires publiques et des communications

Commissaire à la lutte contre la corruption

514 296-7593

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